Publié le 25 décembre 2014 - par

6 conseils pour bien démarrer avec votre Raspberry Pi

B+_250pxLe Père Noël a été bien inspiré cette année ! il vous a déposé un mignon petit Raspberry Pi au pied du sapin ! (bon, d’un autre côté ça n’a pas surchargé la hotte, avec 45 grammes de high-tech…)
Dégrisé des excès du réveillon (ah? pas encore) vous voici fin prêt à découvrir votre nouveau joujou !
Pour vous éviter de trop galérer, voici quelques conseils qui pourront vous aider …

6 conseils pour bien démarrer avec votre Raspberry Pi

Protégez votre Raspberry Pi

B+_600pxOuvrez délicatement la boîte, vous trouvez le Raspberry Pi endormi dans un sachet antistatique. Dites vous bien que ce n’est pas pour faire joli.

Les composants actuels sont vraiment TRÈS sensibles à l’électricité statique !

Et malgré toutes les conneries légendes qui circulent sur le net, le fait de toucher la carcasse (quand il s’agit d’un PC) est totalement insuffisant pour vous en débarrasser. Le simple fait de relâcher le contact, de bouger génère de nouvelles charges !

La seule VRAIE solution est d’utiliser des mesures de protection sérieuses (bracelet, tapis…) prévus pour éliminer cette électricité.

Difficile avec le nano-ordinateur qu’est le Raspberry Pi de toucher la carcasse (il n’en a pas) ou de mettre en œuvre des moyens de protection qui coûteraient 10 fois le prix de la framboise…

Alors ?

Conseil N°1

Évitez de manipuler la carte inutilement, si vous le faites, prenez la par les bords. Ne posez pas les doigts sur les pastilles ou les pistes du circuit imprimé ni sur le GPIO. Vous prolongerez ainsi la vie de votre Raspberry Pi.

Une décharge d’électricité statique n’est pas forcément destructrice, mais elle peut endommager les pistes du microprocesseur ou de la mémoire qui ont une taille de quelques nanomètres. Ces points légèrement abimés provoqueront à terme une coupure de piste ou un court-circuit qui créeront une panne irréversible.

raspi_b+_dessousSi on regarde (en tout bien tout honneur 😉 ) les dessous du Raspberry Pi, on voit immédiatement une quantité de composants miniatures, de pastilles, de contacts….

C’est un autre point délicat du Raspberry Pi : Si vous le posez sur une table pour l’essayer, il faut vous assurer que rien de métallique ne viendra créer un court-circuit entre deux points de cette carte. Un (très) bref contact entre l’alimentation 5 volts qui arrive sur la micro USB et une patte du microprocesseur  (qui fonctionne en 3,3v, 2,5v et 1,8v) et voici le circuit intégré qui se transforme en circuit… désintégré !

En plus le déballage des cadeaux de Noël dépose souvent des agrafes, fixations métalliques, vis… qui sont autant de dangers potentiels pour la survie de votre nouveau jouet.

Conseil N°2

A défaut de mettre immédiatement le Raspberry Pi à l’abri dans un boîtier (tsss il n’y avait pas pensé, le Père Noël ?) vérifiez soigneusement l’endroit où vous le posez et éliminez tout objet métallique à proximité.

La framboise ne pèse que 45 grammes, le poids des câbles peut l’entraîner, la faire tomber… enlevez tout ce qui peut provoquer un court-circuit et qui se trouverait dans les parages.

Posez le Raspberry Pi sur un objet isolant comme un morceau de carton ou une page A4 juste sortie de la ramette.

Attention à l’alimentation

La plaque de l'alimentation du hub 4 ports de ModMyPiL’alimentation est souvent la cause de bien des déboires. Pour économiser quelques sous euros on se rabat souvent sur un « chargeur » de smartphone. Il a tout ce qu’il faut, non ? La tension 5V, la prise micro USB, il sort 500 mA ou 1A. Tout devrait bien se passer….

Et puis lorsqu’on l’utilise, de temps en temps la LED PWR clignote (c’est mauvais signe !) et/ou un petit carré multicolore s’affiche en haut à droite de l’écran (ouhhhh c’est pas bon signe non plus…). La cause ? c’est votre alim qui n’est pas à la hauteur ! (et ça ne sert à rien de la placer sur la table pour qu’elle soit plus haut 😉 ).

Lors des phases de démarrage de votre Raspberry Pi, il se produit des appels de courant importants, par exemple lors de la mise en service du GPU. Si votre alim ne suit pas, la LED PWR va clignoter , indiquant une tension inférieure à 4,75v. Les nouveaux firmware intègrent eux-aussi un indicateur et ils affichent un carré multicolore en haut à droite de l’écran si l’alim descend en dessous de 4,65v.

Qu’est-ce que ça peut faire ? Souvent pas grand chose, mais parfois, si l’alim ne suit vraiment pas, vous allez voir le Raspberry Pi redémarrer ou vous aurez des erreurs d’écriture sur la carte SD.

Vous pouvez rencontrer également ce phénomène si vous utilisez un port USB pour alimenter votre Raspberry Pi (certains écrans en sont dotés, mais cela arrive aussi avec les PC ou portables). Les ports sont faits pour délivrer 500 mA. Parfois le Raspberry Pi demande un peu plus, durant un très court instant. Cela suffit à provoquer un redémarrage.

Si on regarde à l’oscilloscope ce que sort un chargeur, on est parfois surpris par la (très) mauvaise qualité de la tension fournie. Le test du chargeur Ferrari publié dans le numéro de janvier-février de Hardware Canard PC est très explicite. Il s’agit d’un chargeur prévu pour être utilisé sur le 12V d’une voiture, mais de nombreux chargeurs 220V présentent les mêmes défauts.

Conseil N°3

L’alimentation est un élément clé pour la stabilité et le bon fonctionnement de votre Raspberry Pi. Ne lésinez ni sur sa qualité, ni sur son prix.

Choisissez bien votre système

De nombreux systèmes sont disponibles sur le Raspberry Pi. Peut-être avez vous envie de tous les essayer ?

Soyez patient(e) ! Il vaut mieux démarrer sur une valeur sûre comme Raspbian. Rassurez vous, Raspbian c’est une Debian, la même qui équipe tous les ordinateurs de l’ISS et ceux de Google… Une valeur sûre. Si vous n’avez pas commandé une carte microSD « toute faite », prenez le temps de fignoler la vôtre.

Prévoyez une carte de 4Go mais une 8Go serait plus adaptée si vous ne voulez pas vous sentir à l’étroit (la différence de prix est vraiment minime). Si la carte est une récup de smartphone (souvent on récupère la 16Go du smartphone pour le RasPi, c’est l’occasion de passer le smartphone à 32Go ou 64Go…) reformatez la complètement pour être certain qu’elle soit « propre ».

Téléchargez votre système sur le site de la fondation.

Utilisez Win32DiskImager sous Windows ou dd sous Linux pour créer votre carte. Vous trouverez des HOWTO (comment faire?) un peu partout et… même sur framboise314.

Configurez calmement votre système, pour cela au démarrage de Raspbian un utilitaire nommé raspi-config vous propose un menu. Indiquez que vous souhaitez utiliser la totalité de la carte pour le système, puis configurez l’internationalisation, le clavier français en AZERTY est quand même plus pratique avec un clavier… AZERTY.

Conseil N° 4

Installez votre système Raspbian sur une carte « propre ». Au besoin reformatez la complètement. Configurez soigneusement les options du programme raspi-config.

Faites des sauvegardes

Il y a un principe incontournable en informatique : on doit pouvoir revenir en arrière en cas de problème.  Je m’explique… Vous modifiez un fichier de configuration. Vous effectuez plusieurs modifs, vous enregistrez. Vous relancez le service ou le système et …. plus rien ne fonctionne. Pas de problème, vous pourrez toujours reprendre la mai et remettre la version précédente du fichier que vous venez de modifier. Bin oui, comme vous en avez fait une sauvegarde il suffira de le recopier… 🙁 oh zut, vous n’avez pas fait de sauvegarde et… vous ne vous souvenez plus des nombreuses modifs que que vous avez faites? Alors… Bon courage !

De même certains installations sont difficilement réversibles pour un débutant. J’ai souvent des messages qui me demandent : « Au secours ! j’ai installé XXXYZ et ça plante mon système ! Comment je fais pour le désinstaller, il n’y a rien de prévu… »

On se retrouve dans le cas précédent ! Avant de lancer une « grosse » installation qui risque de déstabiliser votre système pourquoi ne pas faire une sauvegarde de votre carte SD ? Il suffit d’arrêter votre système proprement (sudo halt) puis de faire une copie de la carte avec dd sous Linux ou Win32DidkImager sous Windows.

Certains utilitaires autorisent même le clonage de la carte SD d’un système en fonctionnement…

Il est alors très facile de revenir sur la version précédente qui fonctionnait bien.

Conseil N° 5

FAITES DES SAUVEGARDES ! TOUT LE TEMPS ! SOUVENT ! LE PLUS POSSIBLE !

Ne vous lancez pas dans un projet sans avoir suffisamment de billes

 Je reçois de nombreuses demandes d’assistance pour des problèmes qui n’en sont pas vraiment… Exemple : « J’ai installé XXYYZZ mais lorsque je le lance, il me met un message d’erreur ».

Souvent le message est explicite et on voit que l’application n’a pas les droits pour écrire ou pour créer un répertoire. La réponse va de soi : Modifiez les droits !

Et en retour on obtient : « C’est quoi? les droits » ou « Je ne sais pas comment faire »

Alors si je suis entièrement d’accord sur le fait que la réalisation d’un projet concret est le meilleur moyen pour s’approprier un système, il faut aussi que le projet soit proportionné. Si vous découvrez le Raspberry Pi aujourd’hui vous avez peut-être envie de réaliser un système de surveillance vidéo qui détecte les mouvement, enregistre des images de l’intrus et vous les envoie sur votre smartphone. Mais si vous découvrez en même temps le Raspberry Pi, Linux, Raspbian… ça fait sans doute beaucoup à ingurgiter d’un coup.

Prévoyez des étapes. Voyez déjà si vous pouvez vérifier le fonctionnement de la caméra avec un utilitaire de base comme raspistill ou raspivid.  Ensuite installez le logiciel de détection de mouvements et testez le etc….

Ne grillez pas les étapes, progressez à votre rythme. a vouloir trop faire d’un coup vous allez vous décourager et votre Raspberry Pi va finir comme commande de la guirlande électrique de votre sapin de Noël 2015… Et encore, c’est pas si simple 😉

Conseil N° 6

Ne grillez pas les étapes. Ne vous engagez pas dans des projets qui dépassent trop vos compétences. Un projet concret est un bon moyen pour progresser et apprendre. C’est aussi un moyen de se décourager et d’abandonner prématurément.

Conclusion

De nombreux Raspberry Pi ont sans doute garni les sapins de Noël cette année. C’est un jouet formidable et un outil d’apprentissage extraordinaire. Son emploi nécessite un certain nombre de connaissances de base incontournables. Ce n’est pas parce que vous êtes un superclicker de souris sous Windows que vous allez maîtriser le Raspberry Pi en une heure….

Bin non, ici on parle d’informatique… et cliquer sur une icône, naviguer sur Internet ou jouer en réseau n’est pas « faire de l’informatique ». La framboise, malgré sa petite taille, est une extraordinaire porte d’entrée vers l’informatique professionnelle alors ne ratez pas la chance qui vous est offerte.

yodaBonnes fêtes de fin d’année et bon amusement avec votre framboise.

Que la framboise soit avec vous !

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À propos François MOCQ

Électronicien d'origine, devenu informaticien, et passionné de nouvelles technologies, formateur en maintenance informatique puis en Réseau et Télécommunications. Dès son arrivée sur le marché, le potentiel offert par Raspberry Pi m’a enthousiasmé j'ai rapidement créé un blog dédié à ce nano-ordinateur (www.framboise314.fr) pour partager cette passion. Auteur de plusieurs livres sur le Raspberry Pi publiés aux Editions ENI.

19 réflexions au sujet de « 6 conseils pour bien démarrer avec votre Raspberry Pi »

  1. msg

    Bonsoir ,

    Pour l’alimentation , je pensais me bricoler une platine qui permette de brancher le RPi aussi bien sur alimentation stabilisée que sur une batterie 12V .

    Je pensais faire avec un LM317 en boitier TO220 , il est donné pour fonctionner jusqu’à 1,5A .
    Pour les résistances , j’ai calculé :
    R1=240Ω soit 2 résistances de 120Ω en série
    R2=720Ω soit 2 résistances en série de 330Ω et 390Ω

    Vous en pensez quoi ?

    Répondre
      1. POURRE

        Bonsoir François,

        Sauf erreur de ma part, d’après le schéma interne trouvé sur le net, ce CI est un régulateur linéaire et non à découpage.
        AMHA, si c’est bien le cas, partir d’une batterie de 12 V pour descendre aux 5 V du port USB est un formidable gaspillage. Si on admet une consommation de 1 A (selon accessoires et utilisation du CPU), c’est pas loin de 7 W qui seront dissipés en chaleur par le LM 317.
        Cordiialement

        Sylvain

        Répondre
        1. François MOCQ Auteur de l’article

          Bonjour Sylvain
          Vous avez raison, le LM317 transforme en chaleur l’énergie qu’il « rabote »
          Mais ce genre de régulateur a été et est toujours utilisé car plus simple à mettre en œuvre que les régulateurs à découpage (nombre de composants, dessin du circuit…)…
          Je suis de la génération 7805/7812/LM317 et j’ai également tendance à utiliser ce genre de composants pour abaisser une tension
          Bonnes fêtes de fin d’année
          Cordialement
          François

          Répondre
  2. POURRE

    Bonjour François,

    Si cela peut vous rassurer, je suis de la génération 2N3055 + zéner 😉
    Je sais que le Rapsy est polyvalent mais qui dit alimentation autonome (batterie, panneau solaire…) dit chasse au gaspi. Quel est l´intérêt d’une batterie de 12 V sauf á récupérer une batterie auto et son chargeur ? Ce genre de régulateur doit avoir une tension de déchet d´environ 2 V et un pack d´accus de 7.5 V pour la radiocommande devrait convenir pour un volume moindre
    Bonnes fêtes à vous, votre famille et aux lecteurs.
    Nota: Le pére Noël qui n´est pas une ordure m´a apporté 2 Raspies ( un kit et un avec écran LCD)
    Cordialement

    __
    Sylvain

    Répondre
    1. msg

      Tu prend ce que tu veux comme accu ou batterie du moment que la tension est supérieur à la tension nécessaire à ton montage , le LM317 fonctionne à partir de 1,25V et jusqu’à 37V environs .
      Si la tension passe en dessous de valeur réglée par les résistances , le transistor en sortie restera alors grand ouvert .

      Après se pose le problème de la gestion de décharger des accus , si on les décharge trop , on les tue .
      Pour le cas des batterie au plomb 12V , un élément vaut 2V , si ta batterie ne délivre plus que 10V , tu peux la mettre au recyclage .
      Pour les accus piles , un élément vaut 1,2V , si tu perd en sortie 1,2V sur la valeur totale de l’accu , tu peux le mettre aussi au recyclage .

      Répondre
    2. msg

      Je suis pas expert en accu , mais je crois que ton accu 7,5V fait en tension nominale 7,2V (6 x 1,2V) donc si il descend à 6V , il sera bon pour le recyclage .
      Après , je ne sais pas à partir de quelle valeur il faut impérativement recharger .

      Répondre
  3. msg

    @POURRE
    Ce que tu dis est valable pour les régulateurs de tension à valeur fixe comme le 7805 qui est prévu pour fonctionner sur une plage de tension en entrée comprise entre 7V et 12V environs .
    Ceci est dû à sa conception interne sûrement basé sur le principe du régulateur à base de zéner et résistance .

    Sur le LM317 , la régulation se fait avec un comparateur de tension , c’est pas la même chose .
    En gros , tu as une tension interne de référence de 1,25V et à partir de laquelle tu peux générer toutes les tension jusqu’à la limite du composant , soit 37V environs juste en changeant la valeur de la résistance reliée à la masse .
    En gros , le comparateur se contente de contrôler la tension entre la patte OUT et la patte ADJ qui est toujours de 1,25V . Si il lit moins , il ordonne au transistor d’ouvrir et si il lit plus , il ordonne au transistor de fermer .
    Il consomme seulement entre 75µA et 120µA maxi pour faire la régulation donc c’est pas ça qui le fera chauffer .

    Le seul soucis , c’est qu’il ne faut pas que le courant consommé par le RPi et ses accessoires soit supérieur à la capacité du transistor interne (1,5A à 2,2A en pointe) sinon il risque de se mettre en sécurité (limiteur de courant ou protection thermique).
    Il est recommandé aussi de mettre un bon radiateur sur ce régulateur , ça évitera que les sécurités se déclenchent trop tôt .
    Le RPi consommant 900mA grand maximum , ça laisse un bon 600mA pour les accessoires .

    Tu as le plan du LM317 en première page et on voit bien le comparateur de tension qui commande le transistor de puissance en sortie .
    https://www.fairchildsemi.com/datasheets/LM/LM317.pdf

    Après , il existe de référence avec plus d’ampères 3A (LM350) et 5A (LM338) fonctionnant sur le même principe de régulation . C’est selon les besoins de chacun .

    Répondre
    1. POURRE

      Je ne voudrais pas trop polluer le fil de notre hôte et si on devait poursuivre cette discussion il serait, peut-être, préférable d’ouvrir un fil dans le forum adéquat.

      -) Le choix de la batterie et de sa technologie pourrait, à lui seul, occuper des pages et des pages. Il faut tenir compte de la technologie, de la courbe de décharge, de la tenue à la température, du volume, du prix, de l’âge du capitaine…). Tout cela reste du détail et le point clef que j’ai soulevé est l’inadéquation, sauf alimentation à découpage, d’avoir une trop grande différence entre Vin et Vout.

      Pour le régulateur, avant de poster ma réponse, j’avais pris la précaution élémentaire de chercher le datasheet sur Internet. François, électronicien de formation, a eu la gentillesse de confirmer mon analyse. Même s’il s’agit d’un circuit intégré, il met bien en œuvre une régulation analogique, avec un transistor de sortie (un darlington, ce qui explique mon approximation à 2 V de la tension de déchet) dont la base est pilotée par un comparateur (ampli op). Le fonctionnement n’est pas binaire, comme tu semble le penser, mais linéaire.
      La plus grande partie de la dissipation (et donc de l’échauffement) ne vient pas de la régulation mais de la nécessité de faire chuter la tension de la batterie vers les 5 V de la prise USB, sous le courant consommé.
      Cordialement


      Sylvain

      Répondre
  4. Stymph

    Hello,

    Vous parlez de faire attention à l’alimentation et sur sa qualité et capacité à délivrer l’amperage et la tension necessaire.

    J’envisage d’acheter un model a+. N’ayant pas d’alim sous la main je pense l’acheter en même temps que la framboise sur les sites kubii ou materiel.net.
    Connaissez-vous la qualité des alims que ces deux sites vendent ?

    Bien cordialement.

    Stymph

    Répondre
  5. AARAB

    Bonjour,
    Pour l’alimentation , J’ai un chargeur de :
    Model:BS-522
    Output:DC5V-2V
    Input:AC100-240V 50:60hz 0.3A
    Est ce que ce chargeyr est compatible avec le raspberry pi 3 ?
    Merci d’avance !

    Répondre
  6. BENABDELOUAHAB

    Bonjour,

    Je possède d’un Raspberry pi 3 modèle B , et d’un capteur de Température et d’Humidité DHT11 Digital ( VCC , DATA , GND ).
    Je ne sais pas comment le brancher avec le Raspberry ??

    Merci d’avance!

    Répondre
  7. Ping : pi-top un ordinateur portable à base de Raspberry Pi 3 (ou 2)… | Framboise 314, le Raspberry Pi à la sauce française….

  8. bererd

    Bonjour,

    Je dispose d’un vieux PC et je voudrais le changer car il rame. En faisant des recherches sur internet sur des portables sans OS, je tombe sur votre site. Ce raspberry me plait bien mais je suis vraiment une bille en informatique et je ne me sens pas de me lancer dans l’installation de ce matériel. J’ai un petit budget et cela me conviendrait pourtant parfaitement. Existe t il à votre connaissance des asso ou des privés qui offre ce service d’installation ou d’aide en direct en tout cas ?
    J’habite sur Avignon en Vaucluse,
    Merci !
    Cordialement
    Isabelle

    Répondre
  9. Jnux

    Bonjour, est ce que le raspberry pi 3 est livré avec un sachet antistatique fermé (il faut l’ouvrir avec des ciseaux ) ou ouvert. C’est pour savoir si celui que j’ai reçu est vraiment neuf. D’avance merci.

    Répondre

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